4/28/2016

Je peux réussir et toi aussi!


Connaissez-vous des gens pour qui tout semble facile? Vous savez ces gens qui semblent toujours avoir « le meilleur emploi »? Ceux qui semblent toujours « réussir à s’entrainer »,  « à bien manger », à avoir « les enfants parfaits », « la taille parfaite » et ainsi de suite? 

Est-ce que vous les regardez en vous demandant; « Pourquoi pas moi? »

La jalousie est une émotion qui n’est pas saine. Elle peut facilement et rapidement se transformer en ressentiment, qui peut causer des maladies.

Il était un temps dans ma vie ou j’étais un peu comme ça. Lorsque quelqu’un vivait un bonheur, je la trouvais chanceuse. Je l’admirais et me demandais bien qu’est-ce qui faisait qu’elle avait réussi et pas moi. Pourtant, il me semblait que je travaillais fort moi aussi, alors pourquoi je n’avais pas le droit à ce succès moi aussi. Voyez-vous tout le négatif dans ce discours?

À un certain moment dans ma vie, j’ai compris que je n’avais rien à envier au succès des autres. J’ai aussi compris qu’il n’y a aucune chance dans la plupart des succès des gens. Quel que soit le dépassement, le chemin parcouru est souvent inconnu. Toutes les heures de travail, tous les sacrifices et les embuches surmontées pour réaliser à atteindre un objectif ne font jamais la une de l’histoire. J’ai aussi compris que si moi je voulais me réaliser, c’était à moi de choisir mes défis, de mettre un plan en place et de foncer jusqu’à ce que succès s’en suive.

Je parle souvent de l’importance de suivre son cœur. Quand on est connecté avec soi, nos choix sont pris selon nos valeurs. La synchronicité de la vie se fait alors de façon tout à fait magique.

Lors d’une conférence  marquante de John P. Strelecky (auteur du Why Café, des 5 grands rêves de la vie, etc.), j’ai eu un flash important.  Tout d’abord, John parle de trouver son QUI. Tu as un grand projet de vie? Qui est la ou les personnes qui ont déjà réalisé un projet semblable? Que ce soit un entraineur, une femme d’affaires, un auteur ou toute autre personne inspirante, informe-toi sur ce qu’il ou elle fait et trouve ta couleur. C’est surprenant de voir combien les gens sont ouverts à parler et vous donner des conseils pour vous aider à vous réaliser.

Ahhhh! Je vous entends déjà. Voyons Carolyn! Une personne qui fait comme moi ne va pas me partager ses secrets! Mais c’est là que vous vous trompez! D’abord, ne faites pas comme les autres! Soyez unique, original! Ensuite vous n’êtes pas eux! Vous ne devez pas copier le concept d’une autre personne puisque vous n’êtes pas cette personne! Finalement si la personne est si inquiète à partager certaines de ses idées, c’est peut-être qu’elle n’est pas en toute confiance. On se comprend ici, je ne parle pas de mettre en lumière le secret de la Caramilk! Cependant, je crois qu’il y a de la place pour tous et que si tu es vraiment sur ton X tu as juste envie de voir d’autres se réaliser aussi!

Crédit photo 1310 Fashion Photography
J’ai ensuite changé mon discours. Aujourd’hui, quand je vois une personne et que je la trouve « HOT », je la mets en lumière! Je suis fière de voir les gens autour de moi se réaliser et au fait, je tente toujours de m’entourer de gens qui se réalisent. Toute l’énergie de ces histoires de succès, ces sourires sont pour moi un moteur qui me pousse à aller plus loin, travailler plus fort et me réaliser moi aussi.

Au moment où j’ai commencé penser et agir ainsi, par magie l’énergie autour de moi a changé. Sachez que tout n’est pas toujours parfait. Oui, je travaille très fort. Mais je suis mon cœur et lorsque vous commentez ou partagez mes textes parce qu’ils vous touchent, je sais que je fais exactement ce que je dois faire. Je suis sur mon X.

Maintenant, à vous de jouer! Quel sera votre prochain projet de vie? Trouvez votre « Qui » et Go!

Allez-y! Jusqu’au bout! Je vous regarderai aller et serai très fière pour vous!

Caro

4/26/2016

Éliminer le pèse-personne en trois étapes!

En 2012, j’ai fait un changement important dans ma vie. Dans le contexte d’un concours, d’une téléréalité, j’ai entrepris un virage santé incroyable. Je me suis mise à m’entrainer plusieurs heures par jour, à avoir une alimentation « sur la coche », sans me permettre de gâteries pendant plus de 6 mois. Sachez que cela ne m’était pas imposé. Ce fut un choix, car la madame voulait donner son 110%. Ceci dit, lorsqu’on est dans un tel contexte, parfois nos habitudes deviennent des obsessions. Pour moi, le pèse-personne faisait partie de ces démons.  Tous les  jours, matin et soir et parfois même au courant de la journée, je montais sur la balance juste pour voir l’effet que pouvait avoir un entrainement ou d’une bouteille d’eau sur mon poids. Je savais que ce n’était pas sain, mais dans ma tête, c’était nécessaire. Du moins c’est ce que je croyais. Lorsque ma vie a repris son cours et que la compétition était terminée, j’ai continué pendant quelque temps. Cependant, puisque je ne m’entrainais plus autant et que j’intégrais tranquillement les aliments que j’avais éliminés, je me décourageais plus qu’autre chose. À vrai dire, je n’ai pas vraiment pu apprécier toutes les livres éliminées, car elles réapparaissaient une à une.

Voici le constat d’une femme qui a décidé que la vie vaut plus qu'un pèse-personne.

Étape 1 : S’apprécier tel qu’on est. : La perfection n’existe pas. Bien que je ne sois pas à mon poids idéal, je suis en santé. J’ai mes deux jambes, mes deux bras. J’ai parfois mal à certains muscles ou articulations, cependant je peux bouger mes autres muscles. Je suis qui je suis. J’ai fait des erreurs, je suis tombé et me suis relevé. Lorsque je me regarde dans le miroir, je dis merci à la femme qui est devant moi. Sans elle, je ne serais pas qui je suis. Sans ses fautes, je ne serais pas aussi forte. Je la remercie et lui promets de m’occuper d’elle du mieux que je peux, sans rancune et d’un amour inconditionnel!

Carolyn avec Dominique Viens - Nutrithérapeute Allez-Hop!
Étape 2 : Faire des meilleurs choix de vie. : Comme le dirait Dominique Viens (Nutrithérapeute chez Allez-Hop!), « A un certain moment dans notre vie, on arrive à une croisée des chemins. On doit alors décider de prendre un virage santé ou un virage vers le système santé. » J’ai choisi le virage santé. Au lieu de compter les calories, j’ai choisi de comprendre quels aliments m’aideront à me sentir mieux. Avec un demi-marathon à faire à la fin mai et le Machu Picchu à gravir en juillet, je souhaite préparer mon corps. Un entrainement physique s’accompagne d’un entrainement alimentaire… Un pas à la fois. Aussi, en 2013, j’ai entrainé mon âme. Une formation spécialisé en PNL (Programmation neuro linguistique), qui propose de travailler sur un avenir plus riche en bonheur, j’ai découvert mes forces et comment les utiliser pour mon bien. Voilà d’ailleurs pourquoi je fais ce blogue et que j’ai mis de l’avant Carolyn Murphy – Jusqu’au bout!

Étape 3 : Remplacer le pèse-personne par l’intuition. : C’est vraiment magique de voir que lorsqu’on fait des choix pour notre corps, comme boire plus d’eau, équilibrer nos glucides et éliminer les sucres raffinés et les édulcorants, tout à coup on a moins mal, on dort mieux et de façon générale, notre humeur est meilleure.

Bref, cette recette n’est pas infaillible. Je ne suis ni spécialiste, ni médecin (et vous invite à consulter si vous en ressentez le besoin) cependant je peux vous dire que pour moi, il y a de l’espoir! Chaque jour, j’essaie de faire mieux que la veille. Quand je franchirai la ligne d’arrivée d’Ottawa ou encore le sommet du Machu Picchu, je saurai que je serai au meilleur de ma forme… pour la femme de 45 ans que je suis, avec tout mon bagage, mes succès et mes défis.

 

4/22/2016

Si jeunesse savait et que sagesse pouvait.


Ce matin, vers 6h58,  alors que j’attendais l’autobus avec ma grande fille de 13 ans (oui, j’attends encore l’autobus avec ma fille de 13 ans, parce que la vie me le permet et que cela me permet des super beaux moments de discussion avec elle), elle me parlait d’un poème qu’elle avait écrit à l’école cette semaine. Le poème parlait entre autres de vieillir et de ne pas regretter les choses qu’on n’avait pas faites lorsqu’on était plus jeunes.

Plus tôt cette semaine, à la radio un chanteur, dont je ne me rappelle plus le nom, parlait de ce qu’il ferait à 20, à 30, à 50, à 60 ans… Hmmmm ça m’a inspiré ma bulle du vendredi matin.

Lorsqu’on vient au monde, on nous offre un corps. Cette enveloppe, on aura à le porter, le supporter, l’entretenir et tout pour les années à venir. La vie nous amène toutes sortes de défis de vie, de santé, d’amour et etc. On prend des mauvaises habitudes, on souffre, on subit et plus encore.

Le temps passe, on a des bobos qui sortent. Pour certains, ces bobos sont importants, pour d’autres moins. Chez moi, ce sont les tendons d’Achille qui me font souffrir terriblement. J’ai fait des traitements de chiro, de physio, une botte de marche… J’ai réglé la situation et c’est revenu. On peut dire que c’est chronique. J’ai des amies qui souffrent terriblement, et qui continuent toujours de se battre. Julie Clément, Nathalie Bisson et d’autres me permettent de croire que tout est possible!

Je me retrouve à 45 ans avec un choix. Est-ce que je continue de faire ce que je fais et vivre avec ces douleurs? Est-ce qu’arrêter de bouger, de courir, de vivre serait une option? Absolument pas!

Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Pensez-y! Si vous êtes dans une impasse. Si vous êtes découragé parce que vos efforts ne semblent pas payer, essayez autre chose! Mais surtout, rappelez-vous que vous n’avez pas le choix. Peu importe, vous êtes en vie et le serez encore longtemps.

Ce n’est pas vrai qu’on va m’enterrer à 99 ans alors que je me serai sentie morte depuis 45 ans à cause d’une blessure, d’une déception, d’un défi trop lourd à supporter!

Même si j’ai fait des mauvais choix dans le passé! Même si je n’ai pas toujours été fine fine fine pour mon corps! Même si parfois, je glisse! Aujourd’hui c’est le jour 1 du reste de ma vie! Alors go! À moi le demi-marathon d’Ottawa! À moi le Machu Picchu!

Qui m’aime me suit, car je serai « la vieillesse qui peut »!

Bon weekend gang!

Caro xx

 

4/20/2016

Non aux voleurs d’authenticité!




J’ai toujours été une fille pas mal énergique. Lorsque les élèves en Vente-conseil au centre de formation professionnelle où j’enseigne font des exercices sur la personnalité, il n’y a aucune grande surprise de voir Madame Murphy ressortir comme « EXPRESSIVE ». Je rigole à chaque fois. « What you see is what you get! »

Mais lorsque j’avais 18 ans et que je travaillais en centre d’appel, ce n’est pas tout le monde qui appréciait cette énergie. Au fait, bien que notre travail fût le service à la clientèle, de répondre aux clients et de vendre des services, comme dans bien des endroits, certains préféraient la loi du moindre effort. Par un beau lundi matin, ma patronne m’avait convoqué en réunion. Elle m’expliquait que les autres filles étaient un peu dépassées par mes succès et que je devais ralentir un peu mon tempo. Je lui ai demandé de clarifier et elle me confirmait que j’étais trop performante pour les autres dans l’équipe.

Pour moi, ce fut le début d’une vie à tenter de ne pas trop déranger. Et parce que notre cerveau fait si bien la part des choses, je me suis aussi mise à être « MOINS ». J’ai le souvenir très clair de demander aux gens qui m’entourait si ce que je faisais était correct. Je cherchais à m’assurer que ce que j’avais dit ou fait n’avait pas blessé les autres. Avec le temps, même mes choix de vie étaient à confirmer afin de rester « CORRECT ».

D’ailleurs, ma belle amie Johanne Fontaine, Comédienne et Coach s’est aussi fait souvent dire qu’elle était « TROP ».

Il y a quelques années, alors que j’entreprenais une perte de poids importante, au fur et à mesure que j’éliminais ma couche de protection, je retrouvais ma joie de vivre. J’avais le goût de faire la folle. Encore une fois, je me retrouvais dans une situation ou ma personnalité faisait des vagues. La différence cette fois est que j’avais la maturité de comprendre. Je comprenais que d’abord, je n’avais pas à changer. Je suis comme je suis. Je comprenais aussi que si certaines personnes étaient dérangées, cela leur appartenait. J’ai surtout appris que je ne peux plaire à tous.

Je suis une boule d’énergie. Lorsque je sors marcher, je suis celle qui chante et danse sur le trottoir. Je suis celle qui saura mettre en lumière toutes celles qui m’entourent et qui souhaitent plus que tout inspirer les autres à être vraie.

Si tu es une boule d’énergie et qu’il y a autour de toi des voleurs d’authenticité, rappelle-toi que ça prend plein de monde pour faire le monde! Tu n’as pas à changer pour plaire aux autres. Ceci dit, il y aura sans doute un petit ménage à faire, car si les gens ne t’aiment pas comme tu es, ils ne méritent probablement pas une place dans ton espace vital!

Aux « EXPRESSIVES » de la terre, je vous rappelle une petite question que je vous ai déjà posée;

Quand tu y penses, sur les 10 dernières fois où tu pensais avoir dérangé, combien de gens étaient vraiment dérangés par ce que tu avais fait ou dit? Pas beaucoup enh? Alors, cessons d’essayer de plaire aux autres et vivons pleinement!

Bon mercredi!!

Caro

 

 

4/18/2016

Hommage au Pace du bonheur! de Nathalie Bisson


L’an passé, j’ai eu le privilège de rencontrer une femme de cœur. Nathalie Bisson est une femme exceptionnelle, un cœur sur deux pattes. Tu sais le genre de femme qui entre dans une pièce et que celle-ci s’illumine.

Nath ne l’a pas toujours eu facile. Au fait, la maladie laisse son corps trop souvent en douleurs. Malgré ces douleurs, elle continue de courir… beaucoup. Au fait, elle cumule les marathons, les demi-marathons et les multiples courses.

Son secret, elle court au Pace du bonheur!

Quand j’ai entendu cette phrase pour la première fois, j’étais dans une période de ma vie ou je me poussais beaucoup. Au fait, je courais beaucoup et en même temps, je tentais de jumeler le travail, la famille, les études, des formations connexes et l’exercice. J’en faisais beaucoup, j’étais fatigué.

En mai 2015, alors que j’ai fait mon demi-marathon avec trop peu de préparation, je me suis blessée. Sans entrer dans les détails, j'ai eu à ralentir mes activités de façon importante.

En fin de semaine, j’ai participé au Relais 8 heures de la Polyvalente Deux-Montagnes. Plus de 360 coureurs se partageaient la piste, dont Nathalie.

J’ai fait près de 12 kilomètres sur une période de 8 heures. La musique dans les oreilles, je courais, dansais, marchais. Bien que très difficile physiquement, ce fut une journée absolument parfaite.

De retour à la maison, j’ai décidé de refaire ma « Playlist » pour mon demi-marathon en mai prochain. Avec des chansons inspirés de plus d’une trentaine de femmes, toutes plus motivantes et inspirantes les unes des autres, cette année, je vais courir pour toutes celles qui ne le peuvent pas. Et le temps, quel temps? Pour moi, ce sera MON PACE DU BONHEUR!

Merci belle Nathalie! Full bisous!!!

Caro xxx

4/11/2016

L’histoire du rôti… et du changement.



On jase de même… Que pensez-vous de la routine? Faites-vous exactement la même chose depuis plusieurs années?

Est-ce que votre journée ressemble à ceci?

  • Vous vous levez à précisément 5h 55 après avoir appuyé sur le bouton « snooze » deux fois;
  • Vous vous brossez les dents, prenez votre douche et lavez vos cheveux un matin sur deux;
  • Vous mangerez votre demi-rôtie avec une lisière de confiture et un café (pas deux, car vous serez beaucoup trop excitée);
  • Vous quittez la maison à exactement 6h 54, prenez exactement le même chemin pour aller au boulot?
  • Chaque vendredi vous prenez un verre de vin avec un repas spécial avec votre conjoint;
  • Le samedi matin, c’est les « -age » (lavage, nettoyage.. etc.)
  • Et ainsi de suite…
Je vous partage l’histoire du rôti.

« Une jeune femme faisait cuire son rôti selon la recette de sa grand-mère. Chaque fois, elle coupait les deux bouts de son rôti avant de le faire cuire, comme sa maman lui avait montré. Elle croyait dur comme fer que si elle faisait cela, son rôti serait parfait, comme celui de sa mère et de sa grand-mère. Un moment donné, curieuse de cette façon de faire, elle demandait à sa grand-mère en quoi couper les deux bouts du rôti faisait que son rôti était si bon. La grand-mère lui répondit simplement que la seule raison qu’elle coupait le rôti était pour qu’il puisse rentrer dans sa rôtissoire. »

Des habitudes, c’est bien, mais c’est aussi correct parfois de sortir de notre routine. Pensez-y comme il le faut. En tant qu’êtres humains, nous sommes en évolution constante. Chaque jour qui passe apporte en nous des changements.

Êtes-vous bien dans la routine? Est-ce que le résultat identique de chaque action que vous posez vous convient toujours? Si oui, c’est correct, mais sinon, pourquoi ne pas vous donner le droit de faire autrement.

Je vous invite à faire ce petit exercice :

Ce soir, changez de place à la table de cuisine. Voyez la réaction de tous autour de vous. Vous m’en donnerez des nouvelles!

Bon lundi tout le monde!

4/02/2016

Ma réflexion du samedi...


Samedi matin, 6h 30. Je suis assise à mon bureau en train d’écrire. Je fais la liste de choses à faire, prépare ma prochaine semaine, révise la semaine qui tire à sa fin. Tout à coup, je me pose la question suivante; « Qu’est-ce que je fais à travailler à 6h 30 un samedi? » La réponse est simple, je ne travaille pas! Je suis passionnée de mes projets et j’adore ce que je fais. Ce n’est donc pas une corvée, j’ai du fun!

Je rencontre régulièrement des jeunes du secondaire pour leur parler de choix de carrière. Je leur raconte que les statistiques démontrent qu’alors que leurs grands-parents commençaient à travailler à l’usine du village pour prendre leur retraite 50 ans plus tard toujours à ce même emploi, ce n’est plus du tout le cas.  Aujourd’hui, un adulte changera d’emploi en moyenne 7 fois au cours de sa carrière.

Nous avons le grand privilège de nos jours de pouvoir choisir parmi un nombre illimité de carrières. De plus, si vous ne trouvez pas un emploi qui vous convient, vous pouvez devenir entrepreneur et inventer votre propre emploi! Quelle chance! Quelle richesse!

Il n’est jamais trop tard pour bien faire! Vous ne faites pas ce qui vous passionne? Vous pouvez changer! Avec de bons conseils, un plan d’action et une passion qui vous anime, tout est possible!

Bonne réflexion! Bon weekend!

Caro


4/01/2016

Prendre le temps...



La vie étant ce qu'elle est, il est tout à fait normal d'avoir des moments ou nous sommes plus fatigués.

C'est le printemps et nous sortons tranquillement de nos tanières. Dans ces instants, ou tout semble aller trop rapidement pour la vitesse de notre corps et de notre cerveau, ma maman avait pour moi un bon conseil,
"Prends ton temps!"
Et oui, en ce vendredi de pluie, si vous vous sentez un peu "Under the weather", comme j'enseigne à mes élèves en anglais, je vous invite à respirer. Respectez ce moment et prenez votre temps dans tout ce que vous faites.

Après la pluie, il y aura le beau temps!

Bon vendredi!
Caro

p.s. Comprenez cependant que si ce moment de fatigue devient des jours, des semaines, je vous invite à consulter. Personne n'est un super héro. Parfois, on doit demander de l'aide pour passer à travers.